Tarif B - 12,50 € (Forte) / 9,50 € (Piano) / 2 € (Pianissimo)

Les Quatre Saisons sont les premiers des douze concertos pour violon intitulés « Il cimento dell'armonia e dell'inventione », La confrontation entre l'harmonie et l'invention, composés vers 1723 par Antonio Vivaldi. Depuis sa redécouverte au milieu du XXème siècle, cet hymne universel à la nature est considéré comme une œuvre majeure. Les enseignants du conservatoire invitent Hervé Walczak Le Sauder, soliste à l’Opéra de Rouen, et des élèves en COP participeront à l’ensemble instrumental.

"De tout temps, des musiciens ont vu leur liberté d'expression se réduire sous la contrainte du régime politique de leur pays, en raison de leurs convictions, de leur religion, ou encore de leurs origines. Au-delà de la censure exercée sur leurs œuvres, certains payent même de leur vie leur différence, comme ce fut le cas de certains compositeurs figurant sur la triste liste de l'Entartete Musik sous le IIIème Reich, le régime nazi banissant par ailleurs le saxophone et le jazz.

Les enseignant montent dans l’Orient Express en compagnie de leurs amis du théâtre pour une traversée musicale et poétique. Chaque étape sera prétexte à la découverte d’une couleur musicale et littéraire.

A la découverte de Fanny et Félix est né du désir de faire redécouvrir le répertoire de Félix Mendelssohn et de sa sœur Fanny. Amis de Clara et Robert Schumann, leur rôle a été majeur dans la défense de musiciens comme Jean-Sébastien Bach et ses fils ou encore de Georges Friedrich Haendel. Au fil d'un récit, trois musiciennes vous invitent dans l’univers de deux trios majeurs dans l’œuvre de Félix Mendelssohn et de sa sœur Fanny.

Programme :

• Fanny Mendelssohn : trio en ré mineur opus 11
• Félix Mendelssohn : trio n°1 en ré mineur opus 49

« Penchés au bord du monde » c’est de la chanson française à texte où chaque chanson est un monde en soi. Il semble que je chante de la mémoire féminine mais pas seulement... On croisera de vieux ogres coincés sur un banc, les femmes-sirènes qui errent sur les rives de nos continents, la nudité lumineuse tout le temps, et le rire. Rire de tout ce qui nous fait peur. Dans mes chansons il y a les eaux du monde qui débordent ou s’évaporent mais jamais de pessimisme : de la vie qui avance lumineuse, coûte que coûte ».

Il paraît que le loup est revenu… dans le Mantois !!! Sur le plateau de Breuil-Bois-Robert, dans les forêts de Limay et même aux abords de la Seine à Mantes-la-Jolie ! Brrr… Pas de panique ! Monsieur Prokofiev nous envoie Pierre et ses amis, la flûte, la clarinette, le basson… euh, pardon, l’oiseau, le chat et son grand-père. Ils vont capturer ce loup bien trop carnivore pour lui expliquer qu’il faut laisser les gentils hautbois… euh, canards tranquilles ! Coiiiin !!!

Anne Cartel : flûte traversière

Charles Comerford : basson

Rémi Demangeon : contrebasse

Concert solistes et orchestre autour de Piazzolla

Il y a cent ans naissait Astor Piazzolla, artiste dont le nom est intimement associé au tango argentin. On imagine souvent ce genre surgi de ses doigts magiques et de son esprit prolifique. Or, cette expression musicale populaire est apparue sur les rives du Río de la Plata il y a presque 150 ans.

Ce concert est une invitation au voyage en terre Bohême. Tentez de percer les mystères de l’âme slave en découvrant la culture et le folklore tchèques à travers les Dumkas et les Polkas du Quintette avec piano Opus 81 de Antonin Dvorak. Continuez avec la découverte gastronomique de la Revue de Cuisine de Bohuslav Martinu et son intrigue passionnante entre la Casserole, le Couvercle, le Fouet, le Torchon et le Balai. Enfin, laissez-vous entraîner par les rythmes endiablés d’une Czardas sublimée à l’occasion par les élèves de la classe de composition !

Maxima Poesia met en avant les liens intenses entre écriture poétique et pulsations du jazz moderne. Accompagnés de compositions d’Anne Mispelter et de Julien Dupont, découvrez les textes d'Arthur Cravan, le poète boxeur précurseur du dadaïsme, de Joyce Mansour, la poétesse anglo-égyptienne de l’érotisme stylisé, et bien d’autres qui invoquent la sensualité, la poésie des corps et la possibilité d’un ailleurs imaginaire. Un corpus incandescent respirant l’urgence, le défi, le souffle et la liberté ; des textes choisis et « oralisés » renvoyant au « spoken word ». 

Programme :
Le Sacre du Printemps, Stravinski
Suite n2 Opus 17, Rachmaninov